Ecrire : essayer méticuleusement de retenir quelque chose : arracher quelques bribes précises au vide qui se creuse, laisser, quelque part, un sillon, une trace, une marque ou quelques signes.

Georges PEREC

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C'est par un récit de vie que mes mots ont commencé à respirer. Nous étions en 2015-2016.

J’en ai terminé l’écriture en juin 2016 et longtemps il est resté sous format « tapuscrit », feuilles A4 reliées par une épaisse spirale en plastique. En Juin 2020, j'ai décidé de finaliser la mise en page et d’en faire un livre.

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Rédigé "comme un cri", partagé avec un cercle de proches, conservé précieusement pour la postérité familiale, ce récit de vie se veut un hommage au courage de quelqu'un de cher et à son parcours de vie atypique ; une personne que la vie n'a pas spécialement épargnée mais qui, malgré ses différences, a toujours gardé la tête haute et le buste droit. "Droite au buste, droit au but". Il narre des extraits de vie, retrace des épisodes, des dialogues, des moments gravés grâce aux mots. Je l'ai illustré de photos.

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"Pour tourner la page, il faut l'avoir écrite"

 

J'ai eu cette envie, ce besoin, de faire parvenir ce recueil intimiste à celui qui était mon auteur de prédilection. Je suis une française lambda, je ne connais personne dans le monde médiatique, mais avec un peu d'astuce, j'y suis parvenue. Et quelques temps plus tard, j'ai reçu cet incroyable mail de Monsieur Patrick Poivre d'Arvor  ; il m'y écrivait : "Chère Stéphanie, merci pour ce récit émouvant mais également tonique." 

Afflux d'émotion et d'ondes positives...

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